La route de nos jours est le moyen de mobilité le plus efficace pour le transport de marchandises, pour l’évacuation des malades vers les structures sanitaires et surtout pour permettre aux véhicules de transport de voyageurs de s’y rendre au niveau des douars les plus reculés dotés d’une route. La commune de Zeboudja qui compte 42 douars se trouve incapable de doter tous les douars d’une route dans le cadre du PCD, certains douars ont été dotés de routes et d’autres par contre souffrent, depuis leur création, de l’absence de routes les desservant chose qui a influé négativement sur la mobilité des citoyens des douars reculés non dotés d’une route qui sont dans un isolement total du reste du monde, il s’agit des douars Khaloufa, Béni-Yakil et Azmouya dont les citoyens de ces trois douars n’ont à aucun moment cessé de demander aux autorités le bénéfice de leur part de développement comme tous les autres douars, des chemins communaux qui seront pour nous, disent les citoyens de ces trois douars, une lueur d’espoir pour sortir de la longue léthargie des citoyens en matière d’économie, de soins et de transport, tous genres confondus.