L'Algérie attire plus d'investisseurs

Les entités maléfiques qui s’opposent à la prospérité de l’Algérie, peuvent désormais aller se remplir le ventre en eau de mer … Les derniers rapports établis à cet effet, affirment que l’Algérie attirent de plus en plus d’investisseurs. Qui dit investissements étrangers, dit capitaux investis dans des projets lucratifs, des postes de travail créés pour les jeunes gens du pays et comme bonus, un savoir-faire à apprendre, en fréquentant des expériences diverses, venant de tous bords. Il ne faut pas se faire de la nausée, en parlant d’investissement étranger. Les entreprises qui vont y œuvrer, seront scrutées sous le l’œil vigilant du droit algérien. Donc, il ne faudra absolument rien craindre de ce côté. L’investissement local comme celui en provenance de pays amis, serait devenu, selon les acceptions modernes de l’économie, un point d’appui important et un vecteur de croissance à ne pas sous-estimer. Maintenant, c’est au côté algérien d’assainir le terrain et le rendre propice aux investissements. J’insinue ici, tout d’abord le fisc, les assurances, le système bancaire et bureaucratique national, les prix des matériaux, de matières premières, les salaires, les coûts des transports et j’en passe. Ensuite, faire attention à la corruption et aux réseaux maffieux de l’économie parallèle: ces grands maux de l’Algérie réelle. Ce que je viens de citer, est très important, notamment, quand les investisseurs sont en provenance de pays où le sérieux, l‘application des lois et des règlements sont de rigueur. Je crois que tout le monde savait bien, pourquoi et pendant longtemps, les investisseurs étrangers nous ont été répulsifs. Sans engager des opérations de purge dans les systèmes bancaires et fiscaux, aucun investisseur ne va accepter de continuer à travailler avec les Algériens et ainsi la réputation de l’Algérie va retomber au plus bas. Par exemple, un investisseur dans les BTP ne peut s’adapter à un mode de travail ou presque chaque semaine, les prix des matériaux: ciment, sable, entre autres, changent brusquement et à l’improviste, alors que l’on lui avait soumis l’exécution d’un projet qui s’étalerait sur un ou deux ans, à des prix moins chers. Ces choses ne concernent pas uniquement, le secteur des BTP. Cependant, l’on peut le généraliser à tous les autres secteurs industriels, technologiques et autres. Justement, l’un des grands maux de l’économie algérienne, c’est le désordre, l’absence de rigueur et le manque d’application des lois, sans omettre la corruption et la mainmise des gangs de l’économie parallèle. Pour atteindre un niveau économique selon les normes modernes, les pouvoirs publics sont appelés à consentir plus d’efforts dans des projets de redressement et de réformes.


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