Insuffisance de plaques directionnelles en agglomération et en quartiers périphériques. Des panneaux «qui ne mènent pas forcément à Rome»

Le problème d’insuffisance des plaques signalétiques d’indication des directions dans les quartiers d’Oran est soulevé par la population qui excepte toutefois les grands boulevards et artères qui en sont dotés, à la satisfaction des usagers et des automobilistes, sur les réseaux routiers. Moins de panneaux directionnels ou d’orientation sont signalés en agglomérations ou en quartiers de plusieurs communes périphériques au chef-lieu d’autant plus que cette carence pénalise les usagers des voies et des routes et rend extrêmement moins délicats les repérages et les accès aux lieux de domiciliation des quartiers. Si sur le plan de la signalisation et de l’éclairage, les améliorations sont perceptibles à vue d’œil par les usagers des routes, il n’en demeure pas moins que des efforts s’imposent pour plus visualiser les quartiers de la périphérie d’Oran, relèvent des spécialistes de la route. Parfois, les automobilistes, notamment ceux affluant d’autres régions du pays, ont tendance à «errer» et à faire plusieurs «aller-retour» pour retrouver leur destination, faute de plaques d’indication nominatives en bonne et due forme des lieux et des quartiers. Non seulement puisque les marquages au sol y sont souvent effacés et nécessitent une mise à niveau. Les panneaux directionnels se combinent pour guider, orienter et assurer une accessibilité des personnes vers leur destination de convoitise. Un élément, somme toute incontournable, dans tout réseau routier. Cela minimise les accidents, facilite la circulation routière et fait gagner du temps aux usagers des routes notamment les voyageurs. Dans certains cas, les mentions affichées sur des panneaux directionnels sont soient anodines, soient peu lisibles, ce qui rend nécessaire de les rénover. Il existe aussi certains panneaux qui comportent d’anciens noms de directions et sens qui ne sont encore pas mis à jour.


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