Une grande conscience au sujet des dangers du cancer du sein, serait en train de se faire remarquer chez la gente féminine. Quand les pestes ravageuses ont disparu de la scène des maladies contagieuses, elles ont été suppliées par les cancers et les maladies oncologiques. Les cancers ont toujours existé, c'est-à-dire depuis la nuit des temps. Cependant, leur prolifération inquiétante, en amont et en aval, avec ce rythme, serait le produit de la modernité et ses aspects négatifs. Les cancers viennent en quatrième position dans les classements des causes de mortalité (classement mondial de l’OMS), après les cardiopathies ischémiques, les AVC et les broncho-pneumopathies… Dans le hit parade des cancers, celui du sein vient en première position avec 2,26 millions de cas en 2020, ayant causé au cours de la même année, 686.000 décès de par le monde, toujours selon l’OMS. Sur le plan national, l’on enregistre une prédominance du cancer du sein chez la femme, tandis que les cancers broncho-pulmonaires sont prévalus chez les hommes. Une étude faite récemment avait révélé des projections à 2025 qui donnaient une augmentation du nombre de cas pouvant atteindre 70.000 nouveaux cas/an… En effet, près de 80% des cancers du sein se développent après 50 ans. Les facteurs de risque liés à nos modes de vie tels que la consommation d'alcool et de tabac, un surpoids ou encore pas ou peu d'activité physique, sans omettre d’ajouter certains facteurs liés à l'alimentation, peuvent augmenter le risque de cancer, à l’instar de la consommation excessive de viande rouge, de charcuterie, du sucre et de sel. Tous ces facteurs que je viens de relater, peuvent favoriser l'apparition d'un cancer du sein. Donc, pour se parer contre ce grand mal, il faudra surtout faire attention à ce que l’on consomme. De façon plus globale, à ce que nous faisons tous les jours, à la façon de travailler, de dormir, de se reposer… C’est une question d’hygiène de vie. Il faudra faire attention, également à son état d’âme: c'est-à-dire à ses émotions, à ses déceptions, à ses conflits intérieurs, à ses relations avec autrui … Attention! L’aspect psychologique est très important… Quand l’âme va mal, tout va mal. Et, tous ses maux vont, le cas échéant, se répercuter de façon très négative sur le plan somatique. Ils vont influer notamment sur l’immunité, cet important dispositif servant à assurer une protection du corps humain contre tout dysfonctionnement fatal. Ce dispositif est appelé à être cuirassé et entretenu pour qu’il puisse accomplir de façon parfaite sa mission protectrice.