Bandes criminelles des quartiers Une lutte coriace

La recrudescence de la criminalité en Algérie est devenue source d’inquiétude pour la population. Les pouvoirs publics tentent, bon gré mal gré, à maîtriser une situation devenant de plus en plus dangereuse pour la sécurité des citoyens. Pour être sincère à ce sujet, le citoyen n’est plus rassuré pour sa sécurité. Un danger peut arriver à n’importe quel moment et à n'importe quel endroit. L’analyse simpliste et naïve d’un citoyen ordinaire : ce dernier endosse la responsabilité aux autorités compétentes, notamment le manque de rigueur dans le traitement du phénomène criminel …Les pénitenciers sont appelés par les algériens «des hôtels cinq étoiles». Et cela à cause, selon eux, de sanctions jugées molles ne pouvant pas ainsi être suffisamment répressives. La répression drastique est l’unique moyen d’éduquer les esprits indisciplinés qui se surestiment. Une nouvelle loi qui devrait restituer la peine capitale contre les auteurs de crimes commis par les dealers de stupéfiants dans la mitoyenneté des établissements scolaires ainsi que les auteurs de kidnappings commis contre les enfants et les adolescents, cette nouvelle a été solennellement accueillie par les citoyens algériens. Cette décision devrait inspirer la sécurité chez la majorité des Algériens. Le phénomène des enfants kidnappés a laissé un souvenir tragique chez les Algériens avec un état d’une grande peur et d’inquiétude généralisée. Autre phénomène qui risque également de se répandre, c’est celui de la vente de drogue aux enfants et adolescents scolarisés cyniquement et impunément devant les établissements scolaires par des dealers sans foi ni loi. La situation aura impérativement besoin d’une main de fer afin de restaurer la discipline civile. Sans quoi rien ne va! Tout ce que nous vivons n’est pas le produit du hasard ou la conséquence d’un anathème. C’est bel et bien le résultat logique d’une politique de relâchement et de manque de sérieux. Ce ne sont pas les institutions judiciaires qui en seraient responsables non plus les corps de sécurité, il s’agit plutôt d’une législation mal placée. Trop de tolérance envers les criminels n’aurait de conséquences logiques que les meurtres, le chaos et l’insécurité. Le traitement radical de tout ça, c’est le retour triomphant de la main de fer et des lois drastiques à l’égard de tous ceux qui se surestiment et regardent tout ce qui les entourent avec un mépris sans égal…


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