Nature et écosystème. Potager dans les jardins de famille : une échappatoire aux stress quotidien

Est-ce que nous avons vraiment des jardins familiaux ou potager une solution pour ceux ou celles qui font du jardinage ou de la botanique ? Il est vrai que d’aucuns parmi les familles oranaises n’hésitent pas aujourd’hui à se redéployer massivement vers les surfaces verdoyantes éparpillées sur les quatre coins de la ville question de respirer de l’air pur et échapper à la monotonie stressante du quotidien durant la saison de forte chaleur en cours. Tout compte fait, en famille dans la nature, les idées ne manquent assurément point grâce aux activités et loisirs divers qui y sont développés en profusion. La ville compte aujourd’hui plus de 250 entre grandes surfaces et esplanades vertes et petits jardins de quartier contrairement aux années précédentes ou ces dernières se comptaient sur les doigts d’une seule main. Pour autant, a-t-on pensé à développer des jardins partagés ouverts ? Leur impact sur la santé est un facteur bienfaiteur et régulateur tant pour l’activité et la circulation sanguine que pour l’équilibre de l’écosystème à travers par exemple les activités de jardinage ou de potager. Les jardins de subsistance mixte et traditionnels répondent généralement à des besoins nutritionnels et de ré oxygénation à leurs visiteurs qui sont généralement des familles ou des accros aux plantations d’herbes et de plantes en toutes sortes. Les jardins de famille où on peut y potager manquent de place à Oran notamment dans les quartiers malgré l’existence de quelques pépinières dont le nombre est pourtant réduit en dépit de leur incidence sur l’environnement et la santé humaine journalière.


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