Ces candidats au Bac qui prennent des risques inutiles

Le Bac restera toujours ce tremplin, vers un avenir meilleur ou cette trappe qui va nous condamner à rester éternellement, dans le grand trou de l’échec. C’est pour ça, et depuis sont instauration officielle en France, par l‘empereur Napoléon 1er en 1808, le Baccalauréat est devenu l’événement pédagogique, le plus important dans tous les systèmes éducatifs de part le monde. En Algérie, le Baccalauréat ne fait pas exception à cette règle. Ainsi, le gouvernement algérien est totalement engagé, par le truchement de ses autorités compétentes à donner au Bac toute la force et la crédibilité qui lui revient de droit et du coup, renforcer sa réputation et son autorité pédagogique. Mais, puisque le parfait n’existe pas et à chaque démarche dans la vie devrait avoir ses tares et ses faiblesses, l’on est tout le temps prêt à être surpris par des accidents de parcours. C’est une persévérance coûteuse en temps et en énergie qui commence en première année secondaire, pour s’achever en réussite ou en échec après trois bonnes années d’épuisants labeurs. A signaler que le parcours du combattant va s’accélérer et se durcir, notamment au cours de l’année de terminale. Il y aurait des programmes s’étalant sur toute l’année scolaire, pour environ une moyenne de dix matières. C’est quand même pénible pour un ados, spécifiquement, les ados de cette «fin des temps», plus fragiles que leurs ancêtres. C’est là, justement, que l’élève va apprendre à comprendre le vrai sens de la vie. Et qu’il devrait se l’arracher difficilement et dignement. Les incidents de toutes sortes dont nous entendions parler à chaque rendez-vous avec l’examen du Bac font partie de ces revers qui se répètent et impossibles à éviter. Au fait, le rêve du parfait n’existe que dans les esprits imparfaits… La réussite de l’examen du Bac, en tant que rendez-vous pédagogique national, le plus important du système éducatif national, à la lisière du cycle scolaire et universitaire, est concrètement traduit dans sa réputation mondiale, notamment auprès de l’Unesco. A retenir, que le Bac algérien jouit auprès des établissements de l’Enseignement supérieur dans tous les Etats du monde y compris les pays réputés pour leur avancement sur le plan de l’Enseignement supérieur et la recherche scientifique. Cette distinction est beaucoup plus présente chez nos jeunes talents, connus pour leur perspicacité. Ces derniers ont réussi à s’imposer dans le domaine de la recherche scientifique où de très nombreux Algériens ont marqué par leur empreinte les multiples domaines de la recherche dans les labos des universités occidentales et japonaises..


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