«Les Algériens n’ont jamais cessé d’exiger de la France, reconnaissance, excuses et indemnisation, pour ses crimes commis à l’encontre du peuple algérien, durant la colonisation (1830-1962), notamment l’acculturation, les massacres, les pillages, la torture et les essais nucléaires». Abbès Mimouni
Oui, effectivement, ils ont utilisé du gaz toxique, du napalm ainsi que d’autres armes. Et, s’ils avaient eu la possibilité de frapper les Algériens avec la bombe atomique, ils n’auraient jamais hésité à le faire. D’ailleurs, leurs «frères et alliés» l’ont fait sans la moindre p’tite tergiversation contre les Japonais, à la fin de la seconde guerre mondiale. Selon le système mondial «des castes», français, américains et anglais, en ajoutant la liste de l’entité sioniste, appartiennent à la caste de ceux qui seraient immunisés contre toute poursuite et contre toute sanction. L’Histoire avait tout retenu et tout est archivé et les documents condamnant les crimes sont là. Rien ne se crée et rien ne se perd!! Après l’indépendance, aucune partie, à fortiori la partie victime, n’avait osé exiger des sanctions, au moins contre les auteurs des crimes commis contre les Algériens… Ces Algériens qui s’étaient soulevés pour leur liberté et leur dignité, évidemment, pour leur culture barbouillée et enterrée vivante. Ces gens-là, on les appelait: les fellagas, les terroristes, les fanatiques. (FLN voulait dire selon eux, fellagas lâches et nuisibles). Non seulement, l’on n’avait pas sanctionné comme il se doit les auteurs, mais nous étions obligés de pardonner aux collabos et aux traîtres leurs crimes et avec comme bonus les réintégrer dans les institutions du jeune Etat indépendant… Le bon arabe, c’est celui qui doit se laisser faire…et quand c’est le contraire, il devient un terroriste nuisible pour la paix mondiale. Une paix qui n’a jamais existé… D’ailleurs, c’est quoi la paix selon leur acception? C’est quand ils sont en train de traire à sang les nations assujetties et bradées, sans qu’ils soient inquiétés par une quelconque force d’opposition. Nous avons déjà soulevé dans des précédentes chroniques, la question : la chute démographique de la population algérienne entre 1832–1882, date du premier recensement où l’on avait trouvé que trois générations d’Algériens, après que la population avoisinait les dix millions, avaient disparues selon l’auteur du livre «le miroir» Hamdane Khoja, qui était un haut fonctionnaire dans le gouvernement de la régence. Ce n’était pas normal qu’un pays se vide, comme ça sans raison apparente, des deux tiers de sa population en un demi-siècle. A vous d’analyser!!!