Tout laisse à croire, sincèrement, à cette description morbide. A vrai dire, le délire des grandeurs n’est pas l’invention de Trump. C’est une attitude spontanée et naturelle chez les Américains et avec eux, toute la race blanche aux convictions suprématistes. Seulement, c’est ce dernier qui aurait apposé, sur cette psychopathie, un cachet officiel. Depuis la douloureuse histoire de Hiroshima et Nagasaki, le message américain à toute l’humanité était clairement net. Donc, tout être vivant penserait à uniquement gêner les intérêts des Américains, dans n’importe quel endroit de la planète, sa main coupée …Tous les crimes commis par les Américains, un peu partout sur la terre, depuis la fin de la seconde guerre mondiale, n’ont jamais fait l’objet de sanctions, en vertu des dispositions du droit international ou à la rigueur, condamnés verbalement. Toutefois, les Américains, par une sorte d’hypocrisie innée en eux, ont réussi à se faire passer pour les chantres de la démocratie, de la liberté et des Droits de l’Homme. Et puis, c’est une façon comme une autre pour imposer un équilibre politique, entre ce qu’ils disent et ce qu’ils font. Ce qui n’est pas le cas avec Trump, ses collaborateurs et ses acolytes : Musk, entre autres. Ces derniers avaient, savamment, réussi à se démasquer afin de laisser paraître au monde entier le vrai visage de l’Amérique. Ils savent bien qu’avec les puissances de la Chine, de la Russie et de l’Union européenne, personne n’oserait demander des comptes aux Américains sur ce qu’ils sont en train de faire. Suite aux «folles» mesures prises par Trump et son administration, concernant les droits de douanes, les économistes du monde entier sont unanimes sur le fait que l’humanité est en face d’une grande crise économique mondiale. Il ne faudrait pas surtout croire que Trump serait en train de bâcler. Il sait très bien ce qu’il est en train de faire. Cela nous rappelle la «révolution» économique et financière faite par Hitler dès son accès au pouvoir en 1933… Six ans après (1939), l’Allemagne est devenue la première puissance économique et miliaire du monde. Malheureusement, cette puissance n’a pas été investie dans le bon sens. Un point commun entre les deux «chefs», l’ancien et l’actuel, c’est bien le délire des grandeurs. Cependant, cette déviation psychologique dangereuse finira toujours par provoquer des cataclysmes et c’est constamment les pauvres qui vont payer de leurs vies les conséquences graves des politiques délirantes menées par des énergumènes.