« Je crois que la France traverse une crise d'identité et je ne veux pas laisser le monopole de la nation à l'extrême droite.»
L’ex-président Sarkozy
Avant d’anticiper cette chronique, j’aimerai bien rappeler que deux jours après la lettre de félicitation envoyée par Macron au président Tebboune, à l’occasion de la fête de l’Aïd El Fitr, le traître en chef, Ferhat Mehheni, le chef de la bande servant à deviser l’Algérie et porter atteinte à l’unité nationale, a été reçu de façon solennelle au Parlement français. C’est un scandale!! Certes! Mais, c’est à vous d’analyser et de juger les intentions d’un geste aussi crapuleux. Voilà, ce qui démontre que la crise fomentée avec l’Algérie, pendant des mois, n’était en effet, qu’un subterfuge. Le but, c’était d’échapper à une sérieuse crise intérieure multidimensionnelle, en trouvant dans l’affaire Sansal, un objet de manipulation. Pour bien faire, les formations de l’extrême droite, allant du bénin au plus grave, ont été machiavéliquement et massivement mobilisées, afin de servir de «boscos» dans une campagne médiatique ayant visé l’Algérie. Jamais, un gars de l’extrême droite n’arrivera au poste de la magistrature suprême en France. C’est un principe immuable, chez les cercles «occultes» de décisions dans l’Hexagone. Pourquoi? Parce que l’extrême droite a été conçue, afin d’accomplir des missions bien déterminées. Lorsque l’on voudrait créer des tensions psychologiques chez les immigrés, notamment dans les milieux arabes et musulmans, c’est Mme Le Pen ou son père de son vivant, qui va accomplir cette sale besogne. En France, c’est en effet les puissances de la Finance: Rothschild et compagnie, les loges maçonniques, le groupe Bidelberg et les lobbys sionistes, entre autres, qui décident qui sera le président des Français et qui sera «légalement et démocratiquement élu». Le choix de personnalité de faible envergure et impuissante, à l’instar de Macron, n’est pas fortuit… Ces avis ne sont pas exclusivement les miens. Ils sont partagés dans les discours de l’opposition française bien que dit implicitement ou en filigrane. Personne en France n’oserait affronter directement les redoutables forces occultes qui dirigent la France ou l’Europe. Ils savent que par la faute de dirigeants incompétents, la France, avec un Macron à sa tête, se dirige doucement mais sûrement, vers la grande dérive. La solution est simple : fomenter des crises et des guéguerres avec des pays étrangers. Pour des raisons que l’on sait tous, le choix a été porté sur l’Algérie.