Après une turbulente tempête diplomatique et surtout médiatique, voilà les deux parties qui se mettent d’accord pour reprendre tout à zéro... Et, justement, c’est ce que voulait l’Algérie. C’était de tout reprendre, en mettant en exergue, surtout, les points restés sombres dans les relations entre les deux pays. C’est-à-dire, dorénavant, l’on ne va pas être obligé, à chaque épisode, de tout expliquer voire de tout interpréter. Maintenant et nous le souhaitons vivement que la classe politique française ait appris la leçon. La dernière crise ayant surgi avec un tollé entre les deux pays, il y a quelques mois de cela, avait en son sein pas mal de points positifs. Notamment, elle nous a appris que les relations ayant été, tout le temps, jugées comme étant au beau fixe, n’étaient en vérité qu’un leurre. Depuis l’indépendance, les relations entre les deux pays avaient surtout profité et de façon avilissante à la partie française. Pourtant, les Algériens avaient laissé entendre chez la partie Française qu’ils étaient prêts à tourner la page d’un passé sanguinaire et tragique, en vue de poser les jalons d’un avenir prometteur et plein d’espoir à la faveur des deux peuples. Malheureusement, la partie française avait mal interprété les intentions des Algériens. Ces attitudes algériennes auraient été interprétées dans l’Hexagone, comme étant des positions de faiblesse et que l’Algérie ne saurait vivre sans une incontournable assistance de la France. Cela aurait eu lieu parce que la classe politique française recèle de mégalomanes toujours attachés aux chimères de l’empire colonial français qui malheureusement pour eux, ne sont plus d’actualité. C’est un passé qui ne reviendra plus jamais et ça serait de leur faute s’ils sombreraient dans la démence. Ces psychopathes, structurés au sein d’une multitude de formations de l’extrême droite, étaient les pyromanes de la dernière ou l’actuelle crise entre les deux pays. Leur alliance contre nature avec les milieux sionistes de Paris leur avait donné plus de force et de présence. De par sa mollesse, de son manque d’envergure et d’absence de perspicacité politique, le président Macron était devenu le jouet malléable à volonté, des milieux extrémistes et sionistes de l’échiquier. C’est ainsi qu’il n’a pas su comment gérer positivement cette crise qui avait, à certains moments, pris des proportions dangereuses. De par ses boutades «enfantines» exprimées à l’égard de l’Algérie, «le» Macron avait, grâce à un génie insoupçonné, su comment attiser le feu de la crise, peut-être sans le vouloir- !!?? Peut-être qu’il croyait faire du bien!!??