“Les perdants sont ceux qui trouvent toujours des problèmes,
les gagnants sont ceux qui trouvent des solutions aux problèmes des perdants.” Maxime
Pratiquement, tous ceux qui décident injustement, à faire face à l’Algérie perdent à mi-chemin de leur forfait. Le problème d’un Retailleau, c’est qu’il se fait passer pour un Pélissier, pour un Bugeaud ou à la rigueur pour un Bigeard qui avait quitté l’Algérie avec un cœur plein d’amertume, après qu’il avait joué le rôle du personnage principal d’un abominable feuilleton de crimes. L’unique différence entre les généraux français désignés pour mater la révolution du peuple algérien et ceux de l’Allemagne nazie, c’est seulement que les premiers n’ont pas «bénéficié» de leur châtiment de Nuremberg. Ce sont les crimes restés injustement impunis qui auraient généré la situation actuelle. Ce sont les désistements faits par la partie algérienne lors des pourparlers d’Evian qui avait abouti à cette insolence chez Retailleau et ses pairs de l’extrême droite du sérail politique parisien. Le problème actuel de la France n’est ni l’Algérie, ni Sansal. L’on s’accroche à l’Algérie et à Sansal, parce que simplement et tout bêtement l’on veut détourner l’attention du peuple français vers des faux problèmes, diaboliquement fomentés pour la circonstance. Macron et ses compères, à leur tête Retailleau, n’arrivent pas à trouver des solutions urgentes aux problèmes qui finiront par faire sortir les français de leurs gonds. Un second round des gilets jaunes, par exemple, pourquoi pas ? Ainsi, pas mal de personnalités de l’échiquier politique français, notamment des élites intellectuelles et de l’opposition politiques, qui partagent nos avis sur la situation, désignent clairement et sans détour la responsabilité de l’actuel gouvernement dans l’échec politique total de Macron et ses collaborateurs. Pas mal de personnalités françaises avaient exprimé leur refus de voir le gouvernement français s’immiscer dans l’affaire Sansal, alors que la question, en référence au droit international relève, sans équivoque, de la parfaite souveraineté nationale. Des preuves tangibles démontrant que Sansal est un citoyen algérien qui est accusé par la justice algérienne d’avoir commis des actes et exprimé des paroles qui sont incriminables par le droit algérien. Si on ne sait pas que cela n’a pas plu au gouvernement Retailleau et bien ça c’est leur problème et non pas celui de l’Algérie. Et, «qu’ils se cognent la tête contre le mur», comme on dit dans notre langage populaire algérien. A ne pas oublier surtout que c’est la France qui encourage – en collaboration de l’Entité sioniste criminelle- les idées séparatistes en Algérie, notamment le MAK.