Accueil » RÉGIONS » Brèves de Béchar

Brèves de Béchar

Tous les produits disponibles
Tous les produits sont disponibles et une forme de culture de bon consommateur commence à s’installer chez le citoyen. En effet, les viandes rouges et blanches sont exposées à des prix abordables. Là, il s’agit de la viande locale de veau fixée à 1.700 DA. Par contre, celles importées d’Adrar et du Brésil ne dépassent pas 1.400 DA. Le poulet affiche les 500 DA et l’escalope à 1.000 DA le kg. Quant aux légumes, le prix se maintient à l’exemple des haricots verts 280 DA, des petits pois à 300 DA, de la pomme de terre à 80 DA, des poivrons à 100 DA, des oignons à 80 DA, des carottes à 4O DA et des navets à 60 DA, hormis la tomate qui a grimpé à 100 DA alors qu’elle se vendait à 60 DA. Pour ce qui est des fruits, les prix sont à la portée du consommateur alors que la mangue est fixée à 1.000 DA. Quant au lait en sachet, l’approvisionnement est régulier. Cependant, le pain des boulangeries traditionnelles est très prisé en période de Ramadhan.

                                                         **************************************

Les élèves commencent à déserter les établissements scolaires
A une semaine des vacances et après avoir terminé les compositions du 2ème trimestre, un grand nombre d’élèves commence à déserter les établissements scolaires et les classes sont pratiquement vides, les enseignants se retrouvant avec 02 ou 03 élèves. Aucun ne se soucie ni les parents d’élèves ni les responsables de la Direction de l’éducation. On se demande à quoi sert un calendrier des vacances.

                                                         **************************************

L’élagage du tamaris ne se fait plus
Pour savoir, le tamaris est une espèce d’arbre importé du Mexique, au temps de l’époque coloniale. Le tamaris est un magnifique arbuste touffu s’élevant sur 05 mètres de hauteur et s’étalant sur autant de mètres de port, buissonnant parfois. Pour dire, c’est aussi un arbre d’ornement et sa résistance aux embruns et au vent est un atout indéniable. L’espèce a été choisie pour être planté au sud en 1936 par les colons et ce, grâce à sa résistance à la sécheresse, à la chaleur et au soleil. A Béchar, le tamaris faisait la joie des habitants qui profitaient, en période de chaleur, de son ombre dans 02 grandes artères du centre-ville (ex-grand-rue et avenue Cheikh Benjoudi) ; malheureusement, cela fait plus d’une décennie que la voirie ne procède plus à sa taille en mars afin de lui redonner vie. Il est à signaler qu’abandonné à l’état sauvage, le tamaris provoque parfois des désagréments lorsque la hauteur atteint les câbles électriques. Nous pensons qu’il est temps que les responsables se penchent sur cet arbre pour procéder à son élagage comme à l’époque, à chaque mois de mars.

À propos M.zineddine

Laisser une réponse

Votre adresse email ne sera pas publiéeLes champs requis sont surlignés *

*

x

Check Also

Brèves de Béchar

Saisie de 04,975 kg de ...

Béchar. Journée d’étude de la société civile et l’environnement

L’association algérienne du patrimoine de ...

Le poulet prend des ailes

Au moment où le prix ...

Béchar . Les cantines scolaires gelées cette année

Les cantines scolaires n’ont pas ...

12 personnes arrêtées à Béchar. Saisie de kif, psychotropes, objets volés et armes blanches

Dans le cadre de la ...