Macron face à une crise multiforme

Ce n’est pas le poids insupportable de cette profonde crise aux multiples facettes qui en serait le vrai problème. Mais c’est plutôt la faiblesse flagrante d’un président de la république incapable, largement submergé par les problèmes contre lesquels il devrait faire face. Macron est le pur produit de la haute finance française : Rotchilde et compagnie. Grâce à leur redoutable puissance financière, ces banquiers tirent de loin les ficelles de la politique. C’est ainsi que grâce à leurs «largesses», un Macron a pu facilement accéder au poste de président de la république. Alors, nous remarquons que des politiciens et des gestionnaires chevronnés, du gabarit par exemple d’Alain Juppé, de Villepin, de Mélenchon entre autres. Ces personnalités sont quasiment écartées de la scène politique française ! Par qui ? Et bien par ceux qui auraient «imposé» Macron grâce à leurs investissements politiques dans des énergumènes de type Macronien et de son gouvernement grouillant de gamins immatures, des homos et pimenté par la racaille de l’extrême droite comme Retailleau par exemple. Ces forces occultes mènent le bal, tout en restant loin des yeux, derrière la scène politique… Depuis le second mandat de Macron cinq gouvernements se sont succédé ! Aucun n’avait la possibilité d’atténuer les retombées de la crise. C’était le signe flagrant d’une crise multiforme, qui n’aura jamais d’issue sans le départ effectif de Macron. Le dernier du hit-parade, c’est celui de Lecornu, qui a présenté sa démission le 06 octobre après moins d’un mois de sa désignation. L’on avait, paraît-il, espérer en lui comme on avait espéré en Bayrou. Pas un seul pas qui aurait été accompli vers l’achèvement de la crise. Pis encore, jusqu’à l’heure actuelle, il n’y a pas la moindre lueur d’espoir pour un dénouement vrai et durable de la crise. Ainsi, le bout du tunnel n’est pas encore visible. Qui aurait pensé que la France, une des économies les plus puissantes du monde, deviendrait un jour un objet d’intérêts pour le FMI ? La classe politique française n’a jamais été aussi divisée comme ces jours-ci, notamment depuis le second mandat de Macron. La France est entrée de pleins pieds dans le gouffre. Cela s’est soldé par des échecs dans la politique étrangère, qui n’a pas été épargnée par le clopinement de Macron et ses acolytes de l’extrême droite, notamment avec l’Algérie et quelques ex-colonies en Afrique héritées de l’ancien empire.