Grâce à un comité mobilisé et un wali à l’écoute. La Cité «Bel Air» renaît

La cité «Bel Air» a connu ces derniers mois une véritable métamorphose. Autrefois marquée par la vétusté et l’abandon, elle est aujourd'hui une cité exemple grâce à une série d’interventions qui ont changé le quotidien de ses habitants. Les espaces aménagés avec soin offrent désormais des coins de repos et de détente, loin du béton omniprésent. Les immeubles, pour leur part, ont bénéficié d’une réhabilitation profonde : installation d’ascenseurs facilitant la mobilité, surtout pour les personnes âgées et les familles, pose de carrelage et de pavés modernes qui rehaussent l’esthétique des halles et cages d’escaliers et travaux divers visant à améliorer le confort. Les habitants ne cachent pas leur satisfaction face à ses transformations qui redonnent vie à leur quotidien. Certains n’hésitent pas à parler d’une "nouvelle cité" tant la différence est frappante. Ce chantier exemplaire prouve qu’avec de la volonté et une bonne gestion, il est possible de transformer une cité ordinaire en un véritable modèle de modernité, alliant bien-être, confort et respect de l’environnement. Si cette transformation est aujourd’hui une réalité, c’est en grande partie grâce aux efforts inlassables du président du comité de cité "Bel Air City Association", Mr Karim Ben Allah, fils de Hadj Mohamed Ben Allah, grand militant de la cause nationale. "Aujourd'hui son parcours est associé à la reconnaissance des valeurs de courage, de fidélité au pays et de don de soi pour la patrie et à l’appui déterminant de l’ancien wali d’Oran dont le soutien a été décisif". En ouvrant les portes de l’administration et en accompagnant les démarches, ce dernier a donné au comité les moyens de concrétiser ses ambitions. Aujourd’hui, cette cité est non seulement un modèle de modernité mais aussi un symbole d’espoir : preuve qu’une communauté soudée et épaulée par des responsables à l’écoute, peut transformer son cadre de vie et retrouver sa dignité. Un modèle à méditer : il appartient désormais aux autres comités de s’en inspirer.