Un Fonds de financement des start-up

Selon une définition officielle: «Algerian Startup Fund» étant le premier fonds d'investissement entièrement dédié aux start-ups en Algérie. Il est question qu’il constitue l'un des piliers primordiaux pour l'émergence d'un écosystème adapté à la création et au développement de start-ups. Ainsi, ce fonds aura la capacité d'apporter une réelle valeur ajoutée à l'économie nationale. Cela s’appelle miser sur les start-ups afin de lancer l’économie algérienne selon une approche moderne, avec l’intention de booster le jeune Algérien afin qu’il s’adapte aux rouages de l’investissement et au monde des affaires. Les gros investissements commencent généralement par une start-up. En dépit des déboires subis précédemment par les fonds publics de l'Etat en participant à ce grand programme national visant la création de start-ups au service des jeunes chômeurs, les pouvoirs publics ne désarment pas …il faudra continuer l’expérience, malgré les critiques exacerbées émanant çà et là. Et, c’est grâce aux défaites et aux fautes commises par le passé que les autorités veillant sur ce programme, ont pu le développer et le rendre plus efficace et rentable. Ainsi, les choses ne vont plus au même rythme et au même bâclage qu’il y 15 ans…je n’ai pas de chiffres exacts sur les start-ups ayant brillamment réussi et celles qui avaient subi des revers. Mais, je peux dire sans équivoque, que les choses vont bien et que l’Etat algérien est appelé à continuer dans cette voie, en encourageant les jeunes algériens à s’initier par le truchement de ce dispositif financier au monde de l’autonomie financière, au monde des investissements et des affaires. Comme je viens de le citer plus haut : certes que l’on va laisser un peu de sa peau, mais ça ne fait rien, au bout du tunnel, c’est la réussite. En tous les cas, si ces sommes importantes ne sont pas octroyées «aux enfants de ce pays», elles finiront par s’évaporer un de ces jours, par le moyen d’une sorte de zigzag étant généralement invisible, au commun des mortels. Nous avons entendu, pratiquement, depuis la mise en place de ce dispositif, de fortes critiques émanant de ceux prétendant détenir le secret des choses. Nous souhaitons que d’autres dispositifs analogues connaissent le jour, afin que tous les jeunes aient la chance de s’intégrer au monde du travail libre, de l’initiative libre. Il ont le droit de s’initier au métier des affaires par l’argent de leur pays, qui est finalement leur argent…qu’ils n’ont pas mendié ailleurs.


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