Dans l’ordre du jour politique de Macron ! L’on préfère l’escalade avec l’Algérie …alors que cette dernière s’efforce, depuis un bout de temps, pour l’apaisement et le retour à la normale. Le discours d’un courant politique algérien estimant que cette attitude macronienne soit l’aboutissement d’une influence pressante et soutenue des lobbies de l’extrême droite française, alliée au sionisme parisien… sous la houlette du sinistre Retailleau dans les milieux de l’extrême droite et sionistes, l’on ne parle que de l’Algérie… Chez le parti Retailleau, elle serait devenue une vraie obsession. Au début du conflit franco-algérien, Macron prônait plutôt la modération et la voie du juste milieu... Il espérait toujours que cette crise n’oserait pas aller très loin jusqu’à l’embrasement ou la rupture totale. Faudrait-il rappeler dans ce sens que ce ne sont pas tous les membres du gouvernement français qui emboîteraient le pas à Retailleau et la clique sioniste de Paris. Ils sont nombreux ceux ayant préféré maintenir le profil bas dans cette crise. Nous avons suivi leurs interventions notamment, les députés devant les députés du Parlement français ainsi que devant les médias. Mais, semble-il que le courant pro-sioniste et extrémiste de la droite, aurait fini par drainer tout le monde dans son sillage, Macron en premier lieu. Donc, en avait-il, opté pour l’escalade et le non retour. L’on ne veut plus laisser une marge, aussi petite soit-elle pour la reprise du dialogue. La partie française voudrait-elle nous faire imposer «un contrat d’adhésion», comme, ça y était le cas, lors des pourparlers d’Évian. Pourquoi? Parce que l’on s’était habitué à considérer l’adversaire comme un être d’un degré inférieur. L’image stéréotypée de l’indigène, du bicot «hominoïde» résiste dans les esprits de ces gens là… Comment ça se fait que ces blédards deviendraient-ils nos équivalents? C’est quand même aberrant, c’est une honte pour la race supérieure !! C’est un revers pour les héritiers de la «grandeur» de l’empire colonial! Sommes-nous devant une situation qui nous rappelle les insurrections spartakistes? Ce n’est pas la faute de l’Algérie si vous êtes dépassés par les événements, si vous n’êtes pas à jour avec ce qui se passe autour de vous. Ce n’est pas la faute du gouvernement algérien, si un segment important de la classe politique française est pris en otage dans le giron sioniste. Vous êtes face à un peuple ayant chèrement arraché son indépendance et sa liberté et ainsi, il n’est pas prêt à les hypothéquer. Ces gens-là seraient-ils conscients qu’ils se font, honteusement, chasser de leur continent «noir», leur chasse gardée!