La cause palestinienne s'internationalise de plus en plus

Finalement ça n’a pas marché ! les mauvaises intentions visant vainement, l’étouffement de la tragédie palestinienne par quelques médias Occidentaux, moyennant mensonge et truquage auraient fini dans la poubelle. Le monde serait en train de se révolter progressivement, et chacun à sa manière, face à ce qui se passe à Ghaza. C’est une tragédie ayant eu lieu devant les caméras du monde entier, à ciel ouvert et en plein jour. Toutes les nations du monde se seraient mises d’accord sur un point crucial ! Il n’est pas question que le repaire de criminels contre l’humanité demeure sans jugement et sans châtiment.. Jusqu’alors ce que l’on appelle : «justice internationale»!! , n’est en effet qu’une supercherie sans fondement réel.. Ce qui a été constaté au cours de cette dernière décennie. Tant qu’il y avait l’épée de Damoclès concrétisée par le droit de veto et le système «onusien» des castes. Tant que ce dernier est caractérisé par l’existence des super-membres de l’ONU possédant le droit de véto et d’autres pays «généralement faibles» classés membres tout cours. Il n’y aura jamais de justice. Tant que le tribunal pénal international (TPI) est financé aux deux tiers par les «amis» de l’entité sioniste, il n’y a aura jamais de justice dans ce monde. Si l’on ne pense pas à remodeler l’instance internationale de l’ONU et de ses institutions strapontins sur de nouvelles bases excluant le système de «castes», la situation continuera dans le même chemin de l’injustice …nous savons que l’ONU et son Conseil de sécurité sont le terrain propice pour la corruption, le lobbying et les tractations secrètes, sous l’effet direct de l’hégémonie des puissances financières, économiques et militaires. L’ONU, le FMI, la Banque mondiale sont au service des intérêts, des puissances hégémoniques. Donc, la tragédie palestinienne n’est pas un fruit du hasard.. C’est la concrétisation parfaite de cette injustice internationale provoquée par une multitude d’Etats puissants faisant marcher la planète au gré de leurs intérêts vitaux… le discours idéaliste que l’on ne cesse d’entendre depuis, la fin de la seconde guerre mondiale n’était en effet que du bluff, sans la moindre consistance effective. En fait, le drame de Ghaza n’avait fait que mettre à nu « une sociologie du bluff» ayant longtemps duré et par laquelle les puissants de la planète tiennent les faibles par leurs oreilles. Faute de mieux, l’on continue à croire aux balivernes de la justice internationale. Les victimes, les faibles, n’ont pas la puissance nécessaire afin d’opérer des changements dans la situation.


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