Algérie-Italie: L’exemple parfait d'un partenariat gagnant-gagnant

«Les bons comptes font les bons amis»! N’est-ce pas à cela qu’aspirent les deux gouvernements à Alger et à Rome ? Nous avons tout le temps et ce depuis l’indépendance de notre pays, rêvé de suivre la politique de vouloir être «bien avec tout le monde». A l’exception de quelques situations au statut particulier. Donc, pourquoi ne pas mettre en œuvre un partenariat avec un pays comme l’Italie… D’abord, il ne nous a jamais donné de leçons en matière de droit, de justice et de démocratie, y compris comment pratiquer notre religion. L’Italie est un pays industrialisé ayant atteint une performance technologique l’ayant classé parmi les pays les plus technologiquement avancés. Et puis, l’Italie est géographiquement très proche de nous. Quand les délégations des deux pays se rencontrent, les partenaires italiens n’ont pas cette arrogance imbibée d’insolence, envers leurs vis-à-vis algériens. Et par-dessus tout, l’Italie en tant que pays avancé recèle d’une quantité insondable d’opportunités économiques et financières. Et l’Algérie devrait en profiter, notamment, dans le domaine de la construction automobile ayant déjà réalisé des grands pas, jusque-là prometteurs et jugés très positifs. L'Algérie, pays en voie de développement, aspire à devenir un pays industrialisé et technologiquement avancé. Grâce à sa démographie relativement élevée et sa population jeune, avec une superficie continentale, ajoutant à cela des richesses inouïes, l’Algérie compte sincèrement devenir un pays parmi les pays avancés, voire une puissance parmi les puissances. Ainsi, l’Algérie a pensé à mettre sur pieds des partenariats avec une série de pays avancés, dont l’Italie serait la première dans le hit-parade. Même dans les prochaines négociations de partenariat économique avec l’Union européenne, suite aux revers subis par l’Algérie au cours des accords précédents 2005/2025., nous comptons sur l’Italie et d’autres pays amis pour que les prochains accords ne soient pas décevants, pour la partie algérienne, comme les précédents. En plus du partenariat énergétique entre les deux pays, qui a déjà donné ces fruits, les deux pays ont un partage d’objectifs prioritaires comme par exemple la création d’une zone de sécurité et de prospérité en Méditerranée. L’on peut citer d’autres domaines de coopération pas moins sensible tels que la lutte contre le terrorisme international et la criminalité organisée. Il y a également le brûlant dossier de la lutte contre l’immigration clandestine…comme vous l’avez bien constaté, l’avenir du partenariat avec l’Italie que nous tenons à encourager et à plébisciter est une haute opportunité économique pour l’Algérie, surtout que nous avons assez vu et su chez les marchands de rêves.