Saïda. Trottoirs accaparés par les commerçants

Toutes les rues de la ville sont presque paralysées et squattées par les commerçants et autres vendeurs à la sauvette. Il est impossible de circuler librement dans une ville devenue un Grand Souk à ciel ouvert. L'administration locale peine à mettre un terme à l'activité informelle, devenue, ces dernières années, une source importante d'emploi. A défaut de contrôle et de suivi sur le terrain par les services compétents, le commerce informel est en pleine expansion à Saida. Même les gérants de café suivent la tendance, sortant, sans vergogne, leurs chaises et leurs tables sur les trottoirs avec tous les désagréments que cela comporte. Alors que faire?


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