Chaque jour, des milliers de personnes empruntent les transports en commun, pour se rendre au travail, à l’école, faire des courses. Ces lieux par leur nature, sont des espaces de brassage où les préoccupations sanitaires croissantes comme lors d’épidémies, la désinfection des transports publics devient un enjeu majeur". Le statut de service public inhérent au transport des personnes. La qualité de l’accueil qui se base sur la propreté et la courtoisie est loin d’être une préoccupation majeure. Marre de voir les citoyens prendre des bus sales, en piteux état et conduits par des chauffards. Le constat est sans appel, nos bus privés sont très sales à l’intérieur comme à l’extérieur. Une triste image s’offre à vous, des bus sont drapés d’une épaisse couche de saleté cumulée des mois durant. La désinfection des transports en commun représente un défi complexe en raison de la diversité, de la fréquence et de l’affluence des usagers, des surfaces à risque et de la nécessité d’assurer une bonne ventilation et qualité de l’air. La fréquence et les protocoles de désinfection doivent être adaptés en fonction de l’affluence. Les heures de pointe avec une forte concentration de passagers nécessitent une désinfection plus fréquente et rigoureuse pour limiter les risques de transmission. Les opérateurs de transport doivent mettre en place des protocoles de désinfection flexibles, capables de s’adapter aux variations de fréquentation et aux événements imprévus comme une épidémie par exemple.