Bir El Djir, pôle Ahmed Zabana, Benfréha... Va-t-on encore entendre parler de surcharge à la prochaine rentrée?

On l’aura certes deviné, là où le problème a l’air de persister, c’est bel et bien au niveau du palier moyen, avec la surcharge pesante et plus notable d’ailleurs, suite aux opérations de relogement d’un quartier à un autre ou d’une ville à une autre et c’est ce qui a fait que les bancs des classes soient saturés. L’autre problème qui complique la donne, est le fait que certains projets de CEM dans des communes n’aient été lancés dans leurs délais impartis. Pour comprendre la chose, il faut souligner que la surcharge se concentre plus dans les cités peuplées comme Bir El Djir ou le nouveau pôle « Ahmed Zabana » et la commune de Benfréha. Il est vrai qu’au pôle « Zabana », un lycée a été transformé en CEM mais il ne faut pas tout de même occulter le fait que ce pôle urbain compte aujourd’hui plus de 30.000 habitants. Toutefois, selon certaines prévisions, l’année scolaire 2024-2024 a été focalisée beaucoup plus sur la densification en infrastructures scolaires pour répondre à toutes les communes et réduire les transferts d’élèves avec ce qu’il suppose comme moyens de transport et autres bus scolaires en nombre adéquat mais à la prochaine rentrée scolaire 2025-2026, on n’ira plus entendre parler de ce problème épineux, croit-on savoir de sources crédibles, proches du dossier, étant donné que le secteur s’emploie actuellement à identifier véritablement les zones où des lacunes existent en matière de disponibilité de places pédagogiques. Ce qui est certain, est que toutes les communes et daïras comptent aujourd’hui des établissements scolaires, suivant la stratégie adoptée par les pouvoirs publics locaux. Selon des voix concordantes, la wilaya d’Oran connaître une prochaine rentrée scolaire appréciable, en tout cas meilleure que la précédente, cela même si des insuffisances persistent. La face cachée de la problématique liée à la surcharge d’élèves est rattachée principalement aux entreprises qui ne réalisent pas les projets à temps alors qu’une entreprise chinoise est capable de construire une école en six mois.


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