Saïda. La remise à niveau en bonne voie

On est à peu près certain que beaucoup de nos citoyens vont crier à la brosse au wali mais les mauvaises langues qui ne s'intéressent qu'à l'aspect négatif ne sont pas sûres de ce qu'ils disent. Certes, se tromper mais persister dans son jugement est diabolique. C'est ainsi que nous estimons utile de rendre à César ce qui lui appartient quand on est sûr que sa paternité est établie. Une virée du côté des communes que la wilaya de Saida compte suffit pour mesurer ce qui a été accompli. On peut se rendre compte des progrès accomplis dans le sens du développement et du bien-être du citoyen de plusieurs façons. Cette remise s'explique par le fait que le progrès est entré dans la campagne sous forme de routes, d’écoles, de logements, de salles de soins, d'alimentation en eau potable, de gaz naturel et d'électrification rural et tant d'autres qui rendent la vie agréable au citoyen. C'est pour dire que chacun dans son secteur bouge. Ce qui reste à faire, ce sont ces repères de la médiocrité qu'il faut combattre en ciblant les idoles de la pieuvre mafieuse qui est visible à l'œil nu. Les responsables et acteurs du dossier du logement sont appelés chacun dans son domaine de compétence à déployer tous les efforts possibles afin d'accélérer le rythme de réalisation et de parachèvement des logements existants. A ce titre, le ministre de l'Habitat Belaribi sera en visite de travail et d'inspection à Saïda cette semaine, nous dit-on. Par ailleurs, les chefs de daïras ont été instruits par le wali Mermouri d'effectuer des visites d'inspection des projets et de suivre de près tout ce qui touche aux aspects administratifs et identifier tous les problèmes qui obstruent les chantiers lancés à travers la wilaya et intervenir pour dégager des solutions adaptées. En somme, à Saïda, rien ne se cache et tout se sait. Tout citoyen sait ce que son voisin a dîné la veille ou si la sauce était relevée ou si elle manquait un peu de sel. Mais certains Saidis à qui on ne la ferait pas, disent d'une manière décourageante aux mauvaises langues de tous bords "BIEN FAIRE ET LAISSER-FAIRE".... A suivre !