La Direction du Commerce revient à la charge Eviter le scénario de 2022:. l’huile de table «disponible en grandes quantités»

Afin de faire face à une improbable crise d’huile de table et de café, des «mesures» ont été prises par la Direction du Commerce afin d’assurer l’approvisionnement du marché local en ces deux produits stratégiques, au grand dam des spéculateurs qui tentent, depuis ces dernière semaines, d’influencer les consommateurs sur un «prétendu» dérèglement de l’offre. Plus de 30 tonnes de café et d’huile ont été mises sur le marché alors que plusieurs autres tonnes sont en stock et prêtes à être libérées au moindre flottement, a rassuré récemment le chargé de communication de la Direction en question. Afin de ne pas rééditer le scénario de 2022 où l’huile destinée à la consommation avait pratiquement disparu des étals des commerçants, avant que les pouvoirs publics de tutelle aient décidé des mesures inédites dont l’augmentation de la production et le plafonnement des prix à 650 DA le bidon de 05 litres et 125 DA le 01 litre, le secteur semble avoir tiré les leçons du passé et veut éviter à tout prix la déstabilisation de la consommation et par ricochet, de l’offre en ces produits. Cela n’a pas été rendu possible sans l’adhésion des opérateurs économiques dédiés à la filière. Suspectant une certaine polémique selon laquelle l’huile de table ne serait pas aussi disponible que par le passé, à l’approche de la fin d’année 2025, supposée être un changement de prix sur le marché, dans le but de pousser les consommateurs à recourir au stockage de ce produit, le secteur a vite flairé les enjeux et par la même, saisi les enquêteurs compétents pour remonter la source de ces «polémistes» en vertu des textes et décrets sur la lutte contre la spéculation, sur décision des autorités supérieures afin de poursuivre les fraudeurs devant la justice. Dorénavant, toute fraude ou spéculation relevée, preuve à l’appui sur ce produit, fera l’objet d’une traduction devant les autorités judiciaires, sans parler des amendes qui peuvent être lourdes, a averti, dans ce sens, un spécialiste du contrôle des pratiques commerciales de la même institution.