Bureau ONEC d’Oran. L’AG organique renouvelle sa confiance au S.G.

L’Algérie a commémoré ce samedi le 71ème anniversaire du déclenchement de la Guerre de libération nationale (1954-1962) une étape qui consacre la souveraineté de la décision nationale et du droit du peuple algérien à disposer de lui-même dès lors que la proclamation du 1er novembre constitue un texte de référence pour toutes les constitutions algériennes n’étant pas sur simple «élan de jeunesse» comme pourraient le penser certains mais bien plus un prolongement légitime de la lutte post indépendance jalonnée de réformes, de ressuscitation de la mémoire de nos aïeuls et nos chouhada et de reconstitutions de toutes les structures de l’Etat algérien indépendant. Le bureau de wilaya d’Oran de l’organisation nationale des enfants de chouhada (ONEC) a célébré comme il faut, le jeudi 30 octobre soit la veille du 71 anniversaire de la révolution au siège organique sis à Gambetta, cette date glorieuse du combat héroïque de l’Algérie contre l’occupant français, avec ses différentes composantes de la famille révolutionnaire, les moudjahidine et les enfants de chouhada en particulier. A l’ordre du jour de cette rencontre, la tenue de l’assemblée générale organique ordinaire pour élire le successeur du SG de wilaya de l’ONEC M. hadj Azzouz Ahmed. La rencontre a été présidée par le S.G par intérim du bureau national de l’organisation en présence de la presse. La salle de réunion du siège organique comptait près d’une centaine entre participants et adhérents de l’organisation. A l’issue du scrutin par main levée, la confiance a été renouvelée à l’unanimité à l’actuel «nouveau ancien» SG du bureau de wilaya, M.Azzouz, pour ses efforts dans la réunification des rangs de l’organisation des enfants de chouhada, dans un contexte où l’Algérie nouvelle a plus que besoin de poursuivre son œuvre de parachèvement de son développement national mais aussi de consacrer l’œuvre des enfants de chouhada à travers des mécanismes de soutien et de reconnaissance, notamment sociaux et culturels destinés aux Ayants droit, enfants de combattants algériens morts pour l’indépendance de l’Algérie.