400 logements AADL de Maïnis (Chlef). Les habitants confrontés à de multiples désagréments

Force est de constater qu’on érige des logements, à notre humble avis, pour le bien-être des habitants, or chez nous on construit et c’est tout sans prendre considération de l’emplacement des habitations et sans se soucier le moins du monde des principes de construction et d’aménagement qui devront permettre aux habitants d’être soustraits à l’action des propriétés nocives de l’atmosphère, or pour les habitants des 400 logements AADL de Maïnis dans la commune de Ténès, ville touristique par excellence, leurs habitations ne répondent nullement aux conditions d’hygiène indispensable pour l’homme qui passe la majorité de son temps dans son habitation pour se reposer. Cela dit, les habitants des 400 logements en question sont confrontés, nuit et jour, à une déchargé publique fumante qui les contraints à fermer portes et fenêtres pour ne pas permettre à la fumée de pénétrer à l’intérieur de leurs habitations, une fumée provenant d’une décharge anarchique qui est un calvaire pour les personnes souffrant de l’asthme et pour les malades en général, cela d’une, de deux, l’absence d’une école primaire contraint en l’absence de transport scolaire des enfants à la marche à pieds pour rejoindre leur établissement éloigné des 400 logements, et de trois, le bus passe tout près des 400 logements mais au grand malheur les abribus font défaut, vieillards, femmes et enfants sont obligés d’attendre l’arrivée du bus sous une pluie battante ou sous un soleil de plomb, une misère…