C’est au moment où les routes en majorité inscrites dans les circuits officiels ont connu des opérations de bitumage, il demeure qu’au milieu du tissu urbain de la commune d’Oran, la situation est de plus en plus insupportable pour les automobilistes. Dans presque tous les quartiers, les nids de poules sont en grand nombre. Pour l’heure, aucune explication n’a été avancée par les responsables de la commune d’Oran. S’agit-il d’un problème de charge de trafic, des conditions climatiques, de la circulation d’eau, sous le goudron. La question reste sans réponse. Les automobilistes ne cessent d’exprimer leur indignation face à cette situation qui est derrière la dégradation de leur véhicule. Une dégradation qui s’aggrave avec la flambée des prix de la pièce de rechange et plus souvent elle demeure aussi introuvable. Des sources proches de l’administration communale d’Oran, déclarent que la réfection des routes ne se fait pas, à cause de problème financier et l’indisponibilité du bitume. S’ajoute à cette situation désolante pour les citoyens d’Oran et les visiteurs de la ville de Sidi El Houari, la dégradation des trottoirs dont beaucoup sont réalisés par des particuliers, commerçants et autres, loin du respect des normes. Dans certains quartiers à l’image d’Akid Lotfi, des automobilistes nous déclarent ne pas pouvoir ouvrir leur portière, à cause de la hauteur des trottoirs.