Il ne se passent pas une année depuis 2010 sans que walis, sénateurs et députés qui sont passés par Chlef, ne cessent de réitérer maintes et maintes demandes auprès du gouvernement pour que l’université Hassiba Benbouali soit dotée d’une faculté de médecine, des demandes restées jusqu’à ce jour sans suite à un moment où le moment est venu pour que cette faculté de médecine doit exister à Chlef, car toutes les conditions sont réunies maintenant pour que les étudiants de Chlef étudient la médecine chez eux, un espoir que des milliers d’étudiants fondent sur le président de la république, Abdelmadjid Tebboune, que lui seul pourra ordonner une faculté de médecine à Chlef, une faculté de médecine indispensable pour la formation scientifique, au vu du nombre d’étudiants orientés vers d’autres wilayas dotées d’une faculté de médecine, alors qu’à présent tout est possible pour l’existence de cette faculté pour laquelle des flots de salive et d’encre ont été versés. Tout est possible désormais pour que l’université Hassiba Benbouali prétende à cette faculté car avec ses 07 EPH (hôpitaux), ses 26 cliniques, ses centaines de salles de soins, son hôpital mère-enfant, ses UMC, son hôpital psychiatrique, son hôpital de 240 lits flambants neufs, ses hôpitaux de 60 lits, sa clinique de Chorfa consacrée uniquement pour les consultations et les orientations, ses 06 cliniques privées, un institut de la formation paramédicale de Chettia, ses dizaines de cabinets médicaux et le tout dernier fleuron de la médecine qui vient de naître, est le nouveau (centre anti cancer) CAC de 140 lits qui est d’envergure régionale, des infrastructures sanitaires en très grand nombre qui donnent droit à l’université de Chlef de prétendre à une faculté de médecine désormais sans aucune excuse.
