Par TAIB HOCINE
L’Université de Bouira ouvrira à la prochaine rentrée universitaire une nouvelle filière à la Faculté de Lettres et Langues, qui consiste dans la spécialisation de la langue Anglaise annoncée dans la circulaire ministérielle n°1 datée du 29 Muharram 1442 correspondant au 17 septembre 2020, relative à l’inscription initiale et à l’orientation des bacheliers pour l’année académique 2020/2021, afin qu’ils puissent choisir cette spécialité dans la fiche de vœux, s’ils obtiennent cependant la moyenne requise. Pour référence, l’étude à l’Université de Bouira est pratiquée par environ 23 mille étudiants dans différentes spécialités estimées à 11 domaines, et 126 spécialités, dont 57 en licence et 69 en master, en plus de 58 spécialités en doctorat, répartis en 6 facultés et 2 instituts. De sorte que l’institut des Sciences et Sciences Appliquées est le plus grand institut qui recèle le plus grand nombre d’étudiants évalué à 5.000 étudiants et en termes de nombre de spécialisations également. Tandis que l’Institut de Technologie est considéré le plus petit en matière de prise en charge des étudiants, dont le nombre est estimé à 200 étudiants et qui garantit une formation professionnelle. Il est à noter que l’administration de l’Université Akli Mohand Oulhadj de Bouira, selon son recteur M Lotfi Mouni, «S’efforce de suivre le rythme des changements et des mutations que son environnement connaît en termes d’ouverture de spécialisations, à la mesure des besoins de développement de la région, d’autant plus que la wilaya de Bouira est devenue un atelier ouvert pour divers investissements productifs et zones industrielles, qui ont besoin de ressources humaines qualifiées et sont formées dans la spécialisation», majeure en génie architectural pour la saison universitaire 2021/2022. Notre interlocuteur fera remarquer quant à l’encadrement à l’université, «la direction de l’université ouvre chaque année un concours pour le recrutement des enseignants, en fonction des besoins de chaque spécialisation, ce qui témoigne d’un manque d’encadrement. Actuellement, 771 enseignants dans différents grades assurent l’encadrement des étudiants»