A l’occasion de la journée du 22 Octobre, Journée nationale de la presse et du 67ème anniversaire du déclenchement de la guerre de libération nationale (du 1er Novembre 1954), l’Association des Correspondants et Journalistes de la wilaya de Tissemsilt «ACJT» a honoré tous les journalistes et correspondants de presse agréés dans la wilaya de Tissemsilt. La cérémonie a été présidée par Djillali Ratiat, président de l’ACJT, en présence de Monsieur Benmoussa Ali, l’un des doyens de la presse écrite locale depuis 1963, ainsi que la présence du chargé de la cellule de communication et des relations publiques à la sûreté de wilaya de Tissemsilt, le commissaire de police, Tine Miloud et le directeur de la Jeunesse et des sports de la wilaya de Tissemsilt, M. Mahroug Kamel. Les journalistes et correspondants de la presse de Tissemsilt se sont retrouvés dans une ambiance très conviviale au siège de l’Association où elles ont reçu des cadeaux symboliques. “Nous avons tenu à marquer cette journée pour honorer nos confrères et consœurs qui s’investissent et peinent autant que nous dans l’exercice de la fonction”, dira, en marge de la cérémonie, Djillali Ratiat, Invité, Tine Miloud, commissaire de police, chargé de la cellule de communication et des relations publiques à la sûreté de wilaya de Tissemsilt, affirmera: «Ma présence parmi vous et mon soutien sont l’expression de ma sympathie et ma reconnaissance pour les efforts que la presse locale fait en direction du développement local», la relation de la police avec les représentants des médias pour «développer» la conscience sociale en «impliquant» le citoyen dans la lutte contre la criminalité sous toutes ses formes. Le commissaire de police, Miloud Tine, chef de bureau de la cellule de communication et des relations publiques à la sûreté de wilaya de Tissemsilt, précisera, par ailleurs, que les médias ont accompagné «depuis toujours» l’opinion publique en lui «permettant» d’approfondir ses connaissances des situations que traverse le pays et de ce qui protège la nation, tout en montrant le «vrai visage» de certains réseaux sociaux qui «induisaient en erreur» les citoyens en «déformant» l’image de la police qui respecte «continuellement» les lois de la République mais aussi en manipulant l’information sécuritaire. Le commissaire de police, Miloud Tine, a estimé que «le rôle des médias dans la prévention et la réduction de la criminalité est mis en évidence par son impact qui se reflète dans l’évolution de la connaissance par le public des différents crimes et de la manière dont ils sont commis, à travers la diffusion de la matière d’information et l’utilisation de ces connaissances pour guider le comportement du public dans sa vie réelle ».M. Tine a insisté, lors de son intervention portant sur l’importance de l’information sécuritaire et la lutte contre la criminalité, sur la nécessité de travailler «davantage» pour le «développement» de la société et «organiser» ses capacités pour «contribuer à faire face» au phénomène de la violence et la criminalité, tout en «sensibilisant» la population.
Il a évoqué également l’importance «de susciter son enthousiasme» pour la coopération avec les services de sécurité afin de «combattre» d’une façon «efficace» tous les types de criminalité. Pour sa part, le commissaire de police, Miloud Tine, chef de bureau de la cellule de communication et des relations publiques, a mis en avant l’importance de l’information sécuritaire, à travers laquelle les médias peuvent, selon lui, «contribuer» à «élever» le sentiment de sécurité chez le citoyen, à «créer» la «culture de sécurité» dans la société et «faire connaître» la nature des dangers et des défis sécuritaires.
