A chaque approche du mois sacré de Ramadhan, les commerçants malhonnêtes surgissent par imposer leur dictat tout en jurant que ces pénuries brusques ne dépendent pas de leur volonté. C’est un «Mot d’ordre» qu’on trouve dans tous les commerces en général. Lundi dernier, l’huile de table a brusquement disparu des étals de tous les commerces, alors que la veille les commerçants vendaient cette matière le plus normalement du monde. Dans les rues, cet état de fait inattendu a fait la une, car tout le monde se posait la question sur cette carence. Certains accusent des commerçants de commanditaires pour stocker leurs marchandises à quelques semaines du mois du pardon. Devant cette situation, la population alerte les services de contrôle de la direction du commerce à dépêcher des commissions d’enquête pour situer la responsabilité de chacun des commerçants indélicats et prendre les mesures qui s’imposent pour libérer les commerces.
