Le procès en appel de «l’homme d’affaires» Ali Haddad a été reporté au 20 septembre en cours…la décision de la Cour d’Alger justifie ce report par l’absence des certains accusés…. D’habitude la justice ne trouve pas trop de peine pour réaffirmer la sentence prononcée en première Instance. Les accusée désignés par la décision sont –ils les mêmes qui ont comparus au mois de juin devant le juge de tribunal de sidi Mohammed ? Ou bien il y en a d’autres? S’il s’agirait des premiers, ils sont déjà en tôle, et les ramener pour comparaitre une autre fois, devant les juges de la Cour d’appel ne posera pas – à notre avis- de problèmes pour la justice. En cas où, il y a d’autres accusés, qui se trouve «peut-être en liberté», ça c’est une autre affaire! Aucun algérien ne possède le minium de doute, quant à l’équité du procès Haddad and Co, en première Instance..Tout s’est passé dans la plus transparente des transparences. C’était un procès public, en dépit de son caractère politique, qui a été suivi par les opinions internationales et nationales, où une aucune ambiguïté n’a pu être constatée. Les verdicts prononcés contre les accusés étaient, également justes et ne comportaient pas la moindre équivoque. Pour la première fois, les algériens témoignent que des hauts responsables et des personnalités riches de haut gabarit, sont jugés et condamnés. Alors, un ou deux ans avant cet épisode, ils faisaient la pluie et le bon dans le pays. Ils tenaient le pays par le cou et ils le dirigeaient là, où leurs intérêts personnels leurs dictaient. En cette épreuve cruciale qui va mettre la justice algérienne devant ses responsabilités, les tentacules affiliées comme par une dépendance affective, aux faux-hommes d’Etat et aux faux hommes d’affaires, tentaient tout, afin de décréditer l’action de la justice et même l’initiative « politique » de présenter ces faussaires, face à face, devant leurs actes criminels..Les réseaux sociaux étaient devenus le champ de bataille en vue, de mener à bien cette croisade..Tout se faisait en nom d’un hirak qui n’existait plus ou bien n’avait plus raison d’être. Le régime politique actuel, comme son staff gouvernemental ou le système de justice, ne représentent pas, certes, le choix idéal pour le peuple..Mais, se sont des algériens, qui sont, quand même, entrain, de travailler et de faire de leur mieux, en vue d’apporter quelque chose de bien ou de bon pour le pays.. laissez les donc travailler..