Nouvelles Assemblées à Mostaganem. Les alliances de l’argent sale !

A Mostaganem, les électeurs abusés condamnent les alliances de l’argent sale. Ils se sentent bernés par la cupidité pseudo politique des nouveaux élus des Assemblées Populaires. Les électeurs et les électrices sont sortis voter car ils aspiraient à une nouvelle Algérie. Ils y ont cru jusqu’au bout, de part l’engouement des jeunes dans les listes électorales mais ils sont désemparés plutôt très déçus. Ils ont suivi la campagne, faite et refaite de jolies phrases prometteuses. Ils ne s’attendaient guère à voir ni à entendre ces élus négocier des places dans l’exécutif avec de l’argent. Certains élus, sans vergogne, continuent à vouloir se placer sur  »le trône » des diverses assemblées par des tractations sales avec des montants allant de 500.000 DA à 600.000 DA pour ceux qui acceptent de faire une alliance contre nature. Ces dévergondés de la politique ont usurpé le droit des votants. On aurait cru que l’argent sale n’apparaîtra plus dans les nouvelles assemblées mais la tromperie du peuple persévère au vu et au su de tout le monde. Certains de ces néo-politiques de petite échelle ne s’intéressent qu’à l’argent. A Mostaganem, on risque de voir des assemblées à cause d’une grande arnaque sur le dos des gens qui se sont donnés la peine de sortir exprimer leurs voix par une journée de pluie et de froid. C’est inadmissible de voir resurgir les vautours de la politique. On veut être à la tête d’une assemblée populaire, en investissant de l’argent construisant des alliances contre nature. Il semblerait que certains sont sortis du contrôle de la formation politique à laquelle ils appartiennent pour des sous entachés. Ce qui faut préciser que pour une telle  »tromperie », il y a de la mobilisation mais surtout de la surenchère. On fait des alliances pas pour construire une assemblée qui s’engage à travailler pour la promotion du cadre de vie des citoyens et le développement local, on négocie les montants d’une alliance. C’est dramatique ce qui se passe à Mostaganem. Ce qu’il faut savoir, c’est qu’il y a des têtes qui se disputent les ralliements avec tel ou tel clan moyennant la  »chkara ». Ces têtes pseudo politiques sont ceux qui font la marmelade pour occuper la chefferie. A Mostaganem, on va se retrouver avec ceux qui ont payé les sièges de l’exécutif de l’Assemblée. En suivant de près les rumeurs sur les tractations, on se rend compte que rien n’a changé. L’argent sale continue à placer des énergumènes élus pour gérer les affaires des habitants de cette wilaya. A Mostaganem, l’argent remplace les compétences. On a pris une vilaine coutume que de voir les élus acheter leurs places….Le vote du sénat est l’exemple qui a souillé la démocratie et même l’éducation. On veut être chef des autres par le truchement de l’argent. En revanche, il faut aussi signaler que ces comportements relèvent des responsables des partis qui tolèrent toujours et encore l’argent sale. Il n’y à rien à espérer car l’argent sale, à Mostaganem, occulte le mensonge. Le droit des votants est escamoté par une bande de mafia qui n’a rien à cirer des citoyens de cette wilaya. Des élus que l’on achète comme du bétail pour consolider le cheptel. C’est du pareil au même, les changements semblent être de l’utopie.