La circulation automobile connaît, une véritable saturation dans la ville de Mostaganem où les embouteillages deviennent inextricables, a-t-on constaté jeudi dernier. Un énorme bouchon se forme quotidiennement sur la route nationale n°11, en passant par les allées, à l’entrée de la ville, la route du port et celle en direction de la route nationale 90 A. Au centre-ville, le stationnement de part et d’autre des rues complique la circulation pendant des heures, surtout dans la matinée. Passage obligé pour ceux qui se rendent au centre-ville ou celles situées à Hai-Djebli ou d’autres cités. Ajouté à ces problèmes de circulation de la route, le marché couvert de la ville est littéralement envahi par des vendeurs continuant à s’adonner, malgré toutes les mesures prises par les pouvoirs publics, au commerce informel. De nombreux résidents du centre-ville et mêmes des cités avoisinantes tirent la sonnette d’alarme et estiment qu’il est temps de «mieux réglementer la circulation routière et les activités commerciales pour éviter une situation de totale paralysie». Et en attendant l’installation de feux tricolores, la présence permanente d’agents pour réguler la circulation routière au niveau de ces points noirs est plus que nécessaire.
