Les truffes se font rares cette année et ce, par manque de pluviométrie. En effet, ce champignon du Sahara, très prisé pour son goût, sa composition nutritive et la facilité de sa préparation dans les ragoûts et les purées, se fait rare dans la région du sud-ouest et la petite quantité exposée à la vente a atteint les 15.000 DA/kg. Pour savoir, les spécialistes dans le commerce, si l’on peut dire, illégal, rapportent dans les bonnes récoltes, des chiffres d’affaires qui se comptent en milliards. Il est urgent que l’Etat protège ce patrimoine dans la régulation des prix sur le marché et pourquoi pas imposer des taxes et des impôts au même titre que les autres commerçants.
