L’absence d’une école primaire digne de nom au niveau du site quatre, situé juste à l’entrée du nouveau pôle urbain Ahmed Zabana ne laisse pas les parents des élèves indifférents. En fait, les résidents demandent d’accélérer les travaux de la réalisation d’une école, dont l’assiette est prête et n’attend que le début des travaux. E
n effet, l’école de fortune, construite dans la précipitation afin de permettre la scolarisation des enfants de la cité, ne répond pas aux normes et nuirait au bien-être de nombreux enfants. Un parent d’une élève déplore que son fils doive débuter ses études dans une école qui ne possède pas de clôture qui n’est autre que l’école Ali Bouhedja, et qui reste menacée par des actes de vandalismes et de vols. Il faut dire que pour répondre à l’augmentation constante du nombre d’élèves, l’école reste une option pour éviter la surcharge sauf que les parents évoquent sans cesse l’importance de construire une école pouvant permettre la scolarisation de leurs enfants sans risque et dans les meilleures conditions. Pour ce faire, et afin de combler un besoin pressent, les résidents réclament la création d’une nouvelle école digne de nom qui permettrait aussi bien aux enfants que les enseignants d’exercer sans gêne. Et pourtant les autorités locales avaient promis de faire le nécessaire pour construire une école dans les plus brefs délais.
«On trouve que les autorités locales restent assis sur leurs mains et ne bougent pas beaucoup dans cette affaire-là», a déploré une dame qui évoque l’emplacement de l’école qui est entouré de véhicules clandestins. Une chose est sûre, les enfants vont apparemment passer une autre année de scolarisation dans une infrastructure qui manque d’un facteur important à savoir la sécurité étant donné que la clôture n’existe pas.
Accueil » ORAN » L’école Ali Bouhedja de la cité AADL Ahmed Zabana sans clôture. Une autre saison sans sécurité pour les enfants