La nouvelle Algérie est en chantier ouvert par le président Abdelmadjid Tebboune, avec comme priorité le Référendum sur le projet de révision de la Constitution en novembre. Le président a promis un changement radical afin de concrétiser les aspirations du peuple algérien. Ce changement tant attendu est un projet national ambitieux et non pas un slogan. En fait, le vrai changement commence par le peuple… Il l’avait décidé le 22 février, il a choisi le président le 12 décembre et il décidera de la Constitution le 1er Novembre. Pour construire la nouvelle Algérie, chaque citoyen doit d’abord croire au changement. Il doit ensuite agir pour l’intérêt du pays, de la société et il doit surtout penser aux générations à venir… Si on veut réussir, il faut savoir s’autocritiquer… essayer d’éliminer «l’héritage des 20 dernières années». Pour cela, il faut de la patience, si on veut vraiment instaurer un Etat de droit et concrétiser les revendications «légitimes» du Hirak. Il faut associer efforts et resserrement des rangs afin de renforcer et consolider le front interne, unifier les rangs, susciter l’espoir en l’avenir et par-là même, résoudre progressivement les problèmes accumulés». L’armée nationale populaire estime que «le changement global et radical tel que revendiqué par le peuple algérien, est déjà en route et qu’il avance à pas sûrs». Ce qui rassure les Algériens et leur prouve une énième fois le dévouement de son armée et sa loyauté indiscutable… Cette armée qui est composée des enfants de ce peuple si spécial avec sa mentalité, son caractère et son histoire. Il faut faire face aux «forces opposées au changement» qui tentent d’ébranler la stabilité nationale en mobilisant toutes les énergies et les ressources pour redresser le pays». «La nouvelle Algérie n’est pas un slogan», c’est une action, un travail, un devoir…