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Hygiène et salubrité. L’EPIC  »Mosta Propre » à côté de ses missions

La valse des responsables à la tête de cette structure n’a pas donné les résultats escomptés. A L’EPIC  »Mosta Propre » on tourne en rond alors que la situation de l’hygiène, la salubrité en urbain et suburbain est catastrophique. On gère cette structure dans le désordre le plus absolu même si les effectifs sont considérables et le matériel abondant. Mostaganem et son chef-lieu, ville destination touristique, ne peut pas admettre que son centre- ville soit affreusement poisseux et sale. Ses bacs à ordures immondes et dans un état piteux souvent source d’infections. Ses arcades font pitié, de la saleté de ses murs, les places du 1er novembre et de Ayachi… et le square Boudjemaa font pitié parce que très sales avec un mobilier urbain crasseux. Le ramassage des ordures donne du fil à retordre aux citoyens car il est très désorganisé. Dans certains quartiers, ceux où les responsables ne vont jamais, on ramasse uniquement les ordures des grandes rues et on laisse pourrir les déchets ménagers des petites ruelles comme c’est le cas à Tigditt. Les entreprises payées au tonnage travaillent souvent avec le minimum de personnel et pénétrer les petites ruelles exige plus de personnel car les camions n’ont pas accès. Une situation qui incommode les habitants de Kaddous El Meddah haut, del Maksar, du Kariel et Sidi Boumehouel et Sidi Bessenouci. Alors on se débarrasse des déchets en les jetant par dessus la muraille du Kariel et le cas est aussi frappant sur les rives de l’Oued Ain Sefra en contre bas des trois ponts. Les espaces verts souffrent du manque d’entretien car à l’EPIC on ne sait pas gérer parce qu’elle n’a aucune stratégie verte. Les jardins de l’Emir Abdelkader, le Cour de la Culture, et les espaces verts sont dans un état pitoyable alors que l’Epic se regarde le nombril. L’arrosage se fait encore par camion citerne alors que les méthodes du goutte à goutte existe déjà depuis plus de vingt ans, mais à l’EPIC il n’y a pas de jugeote. L’éclairage public dans certains quartiers est très défaillant. Certaines cités sont restées plus de vingt jours sans éclairage ce qui a suscité des vols. L’organisation dans la gestion du parc éclairage est une fiche à revoir car ailleurs on gère le parc par des logiciels. La voirie à Mostaganem on n’ose même pas en parler car elle est de plus en plus ravagée. Ces responsables retraités doivent aller se reposer, surtout s’ils sont incompétents et doivent laisser la place à une nouvelle énergie et à l’intelligence dans la gestion.

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