Le non-respect du port obligatoire de la bavette dans les “espaces clos” refait surface après une légère accalmie des cas confirmés, durant au moins deux semaines et il est permis de dire, que le phénomène a presque l’allure d’une « peau dure » qui s’enracine dans le patrimoine « génétique » des citoyens. Avec le rebond quoique non significatif des cas des contaminés ces derniers jours dans le pays, l’inquiétude commence à s’emparer d’autres citoyens qui ne rechignent point au respect des consignes préventives sanitaires en vertu des moyens colossaux mobilisés par l’Etat afin de lutter contre la propagation de la pandémie du Coronavirus. L’élément humain « très souvent » déterminant dans l’efficacité des traitements administrés au malade s’est avéré, au fil des analyses de la situation épidémiologique, un vecteur essentiel de la perception des messages de sensibilisation contre la propagation de la pandémie. Le citoyen lambda qu’on accuse d’être à l’origine du relâchement constaté ces derniers jours sur le plan de la prévention, doit se repêcher afin d’assurer sa survie et celle d’autrui. Le Premier ministre s’est montré, récemment, prévenant « le relâchement persiste et s ‘il le faut on appliquera le Plan «B». Les citoyens sont donc avertis en ces deux rentrées sociale et scolaire du cycle primaire. Le mouvement associatif doit redoubler d’efforts afin de mettre en garde les citoyens contre un excès de relâchement et de réaction positive contre la pandémie qui sévit toujours dans le monde.
