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Anniversaire du Hirak populaire. Une gifle aux ennemis de la patrie

«Qui sème le vent, récolte la tempête», dit le proverbe. Les «ennemis» de l’Algérie qui ont nourri l’espoir de «torpiller» le 2ème anniversaire du Hirak «béni», sont tombés dans leurs propres «pièges». Les Algériens ont choisi de dire leur mot. Tout compte fait, le 2ème anniversaire, célébré par le Hirak populaire du 22 février 2019, a été tout simplement «en apothéose», selon les témoins et médias qui se sont imprégnés des valeurs intrinsèques de «Novembre 1954». Il a été à la hauteur des attentes du peuple. Les spécialistes pourront dire qu’il s’agit-là d’une deuxième «leçon» donnée au monde entier par le peuple algérien en matière de marches pacifiques. La célébration a, en tous cas, donné lieu à des retrouvailles peuple-armée où seul l’amour de la patrie et l’unité ont été les mots d’ordre. Point de contestation ni heurts. Une nouvelle gifle a été donnée aux «ennemis» de l’Algérie «terrassés» par le succès qu’auront connu les marches populaires de lundi dernier, en guise de célébration du deuxième anniversaire du Hirak «béni» et «fraternel». Comme le hasard ne vient jamais seul, l’anniversaire du Hirak a suivi quatre jours après la Journée nationale du Chahid le 18 février et a précédé la Fête de l’UGTA et de la Nationalisation par Sonatrach des hydrocarbures un certain 24 février 1971. Un rapprochement éloquent. Un anniversaire du Hirak donc entre deux dates historiques en Algérie. Quelle meilleure illustration de cette symbiose entre le peuple et sa patrie! Des parties ont tenté de jeter le discrédit et le désarroi durant la célébration de cette date. Mais elles auront vite déchanté. Elles ont essuyé des revers. Le ministre de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, Ammar Belhimer, a indiqué samedi que les parties qui ont tenté d’instrumentaliser le 2e anniversaire du Hirak populaire, « ont échoué et essuyé un sévère revers de la part du peuple algérien » qui a célébré cette date « de manière pacifique et civilisée ». Dans un entretien accordé au site Shihab Presse, M. Belhimer a rappelé que le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a décrété le 22 février : « Journée nationale de la cohésion entre le peuple et son armée pour la démocratie », au service du développement, de la souveraineté nationale et du renforcement du front intérieur de l’Etat national ». Un Etat national « dont l’Armée nationale populaire (ANP) est la colonne vertébrale », a-t-il souligné affirmant que « ceux qui misaient sur l’échec de cette démarche, en instrumentalisant le 2e anniversaire du Hirak populaire, ont échoué après la célébration de cet anniversaire par le peuple de manière pacifique et civilisée, comme ce fut le cas il y a deux ans ». Pour M.Belhimer, la Journée nationale de la cohésion entre le peuple et son armée « symbolise la rupture avec la période de gestion anarchique et irresponsable pour une consécration de l’exercice par le peuple de sa souveraineté dans la prise de décision et le contrôle des performances des institutions, dans le cadre du processus constitutionnel ». Soulignant « l’ouverture des institutions de l’Etat à toutes les composantes », il a ajouté que les bureaux des responsables sont, depuis l’accession de M.Abdelmadjid Tebboune à la magistrature suprême du pays, « ouverts à tous les partenaires et aux citoyens dans le cadre de la concertation et du dialogue permanents ». « L’Etat des institutions se construit par les bras de tous pour barrer la route aux prédateurs de la patrie, à l’affût d’une quelconque opportunité, comme la défaillance d’un secteur ministériel afin de saper le Gouvernement ou discréditer tous les efforts déployés par l’Etat », a-t-il estimé. Le Gouvernement « est composé de cadres algériens chargés de gérer des portefeuilles conformément au programme du président de la République élu par le peuple », a ajouté le ministre relevant que « la conjoncture dans laquelle intervient le Gouvernement est la plus difficile qu’a eu à traverser notre pays, du fait des répercussions de la crise sanitaire qu’a impliquée la Covid-19 ». « Si certains ont réussi leurs missions et su gérer leur secteur malgré la difficulté de la tâche, d’autres n’ont pas été, pour le moins que l’on puisse dire, à la hauteur des attentes du chef de l’exécutif », a ajouté le Porte-parole du Gouvernement. S’agissant du traitement réservé par les médias nationaux aux défis extérieurs, le ministre de la Communication a fait savoir que « la presse nationale n’a jamais manqué d’être aux côtés de son Etat et s’est montré, à chaque fois, imprégnée des valeurs et principes de la Glorieuse guerre de Novembre ».

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